Ce samedi 16 août 2025, la salle Malick Condé de l’Université Kofi Annan a accueilli une rencontre d’envergure : la formation des formateurs-vulgarisateurs issus des 159 quartiers de Conakry.
Cette initiative, organisée en partenariat avec l’association Aimer la Guinée et soutenue par la société minière AGB2A-GIC et son partenaire Sinohydro, a réuni responsables communaux, présidents de conseils de quartiers et représentants des entreprises partenaires.
Objectif affiché : donner aux relais communautaires les outils nécessaires pour vulgariser le projet de nouvelle Constitution auprès des citoyens de la capitale, dans un esprit de responsabilité et de conscience citoyenne.
« Le Fan Club Général Mamadi Doumbouya et les organisations associées ont réussi l’exploit de remplir cette salle mythique et de rendre possible le lancement de cet atelier destiné aux représentants des 159 quartiers de Conakry. Dans les yeux de tous les participants, il y a une volonté d’apprendre et de comprendre les facettes de ce projet de nouvelle Constitution », a-t-il affirmé.
Pour lui, l’enjeu dépasse la simple formation : « Il s’agit de susciter la curiosité, de partager les connaissances, afin qu’au soir du 21 septembre, les citoyens puissent voter en toute conscience. C’est un esprit d’unité, de paix et d’accompagnement du Président Général Mamadi Doumbouya dans son œuvre de construction de la Guinée Nouvelle. »
Le coordinateur a également lancé un appel solennel : « Nous invitons tous les Guinéens — partis politiques, associations, société civile — à se joindre à cette dynamique. Quiconque aime la Guinée et éprouve de l’admiration pour le Général Mamadi Doumbouya doit s’impliquer. Le Fan Club, aujourd’hui, est une structure à portée nationale. »
Avec cette formation, les 159 quartiers de la capitale disposent désormais de relais de proximité pour porter le message du projet de nouvelle Constitution auprès des populations. Une étape clé dans la sensibilisation nationale, placée sous le signe de la paix, de l’unité et de la responsabilité citoyenne.
Ahmadou Hamzah BAH
Lire l’article original ici.