Des inquiétudes émergent à l’UFDG concernant les prochaines échéances électorales en Guinée, notamment l’absence de l’obligation de débats télévisés entre les candidats à la présidentielle. Bien que confiant de la force du projet de société du son parti et la popularité de son candidat, Souleymane Souza Konaté estime que l’omission de cette disposition dans la nouvelle constitution n’est pas anodine et cache bien les intentions peu transparentes des autorités de transition.
Le débat sur la prochaine élection présidentielle guinéenne s’intensifie. Au sein de l’Union des forces démocratiques de Guinée, le coordinateur de la cellule de communication du parti a récemment exprimé de vives inquiétudes concernant l’absence de débats télévisés entre les candidats.
‘’En Guinée, ce n’est pas comme l’Algérie, ce n’est pas comme le Cameroun. Un cadavre ne dirigera pas notre pays. On n’acceptera pas un voyou à la tête de notre pays. Il faut que tout le monde accepte de débattre devant le peuple de Guinée, que le projet de société soit validé par le peuple de Guinée. C’est ce que nous faisons’’, a indiqué Souleymane Souza Konaté.
Insistant sur la nécessité pour chaque candidat d’être transparent et de débattre devant les citoyens guinéens, le patron de la cellule de communication de l’UFDG s’est montré particulièrement confiant quant aux chances de son leader, Cellou Dalein Diallo de remporter les prochaines élections présidentielles.
‘’A l’UFDG, nous avons un projet valide. Nous avons un candidat valide. Le président Cellou Dalein Diallo, face à n’importe quel candidat par rapport au projet de société que l’UFDG dispose, nous allons passer haut la main. C’est de ça qu’ils ont peur’’, a-t-il affirmé.
Pathé BAH, pour VisionGuinee.Info
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