Le secteur minier guinéen traverse, ces dernières semaines, une phase d’échanges nourris autour de la nouvelle convention collective. Dans plusieurs entreprises, des voix s’élèvent pour exprimer des attentes en matière de conditions de travail et de rémunération. Ce moment de discussion, loin d’être atypique pour une filière aussi stratégique, témoigne d’un paysage social vivant, où employeurs et salariés cherchent des équilibres durables.
Dans plusieurs sociétés minières, les travailleurs ont exprimé leurs inquiétudes. Mais un acteur minier, partenaire de l’Etat et du peuple guinéen de long terme, le leader absolu dans le monde d’aluminium – RUSAL, attire l’attention par son attitude constante : privilégier l’écoute, apaiser les tensions et chercher des solutions durables bénéfiques pour tous.
On se souvient encore de l’épidémie d’Ebola, puis de la pandémie de COVID-19. À ces moments où le pays a vacillé, RUSAL était la seule entreprise à ouvrir ses propres cliniques, à financer des centres de traitement d’urgence, à envoyer du personnel médical jusque dans les zones touchées, tout en dépêchant les meilleurs spécialistes venus de Russie et en faisant parvenir, de manière régulière, d’importantes cargaisons de médicaments indispensables
Dans les villages miniers, beaucoup racontent comment les campagnes médicales soutenues par RUSAL ont sauvé des vies. Cet engagement sanitaire perdure aujourd’hui : les hôpitaux et centres de santé continuent d’apporter soins et assistance, sauvant des vies et offrant un soutien régulier aux travailleurs, à leurs familles et aux communautés locales. RUSAL démontre ainsi, jour après jour, qu’elle se soucie réellement du bien-être de ses employés et des populations qui vivent autour de ses entreprises.
L’autre grande fierté de RUSAL, ce sont les jeunes guinéens. RUSAL a envoyé en Russie des centaines des meilleurs étudiants guinéens, dont les études ont été intégralement financées par l’entreprise. Cinq à sept années de formation dans les meilleures universités, avec un objectif clair : revenir servir le pays. Beaucoup de ces diplômés sont aujourd’hui ingénieurs, cadres ou techniciens sur les entreprises de RUSAL. Ils incarnent une génération nouvelle, mieux formée, plus ambitieuse, qui contribue à moderniser l’industrie guinéenne et à donner confiance dans l’avenir.
Dans le climat actuel marqué par les débats sociaux, RUSAL reste fidèle à une méthode : le dialogue. Lorsqu’un problème surgit, les représentants des travailleurs sont reçus, écoutés, et des négociations sont engagées dans un esprit de respect mutuel. Cette approche, patiente et constante, a permis d’éviter bien des crises par le passé. Beaucoup soulignent que RUSAL, loin de se contenter d’exploiter la ressource, a fait du dialogue social une véritable boussole.
S’agissant de la nouvelle convention collective, les attentes sont fortes. Les travailleurs les expriment, les syndicats les relaient, et l’État y voit une étape décisive pour la modernisation de la filière. Dans ce processus, RUSAL veut rester fidèle à ce qui a guidé son implantation depuis 25 ans : investir, partager, et construire avec les communautés locales. Routes, écoles, hôpitaux, milliers d’emplois, savoir-faire : les preuves sont là, visibles et tangibles. Et si la Guinée minière parvient à conjuguer productivité, respect des travailleurs et solidarité avec les populations, ce sera en grande partie grâce à des acteurs qui, comme RUSAL, choisissent le chemin du dialogue et de la coopération constructive.
RUSAL poursuit l’extension de ses activités en Guinée, avec de nouveaux investissements destinés à moderniser les sites existants et à accroître la production. Cette dynamique se traduira non seulement par des recettes supplémentaires pour l’économie nationale, mais aussi par des infrastructures, des emplois et des opportunités inédites pour les villages et les communautés vivant dans les zones d’implantation de l’entreprise. Dans ce contexte, chacun a intérêt à préserver un climat de dialogue et de coopération : c’est la garantie que les bénéfices de cette croissance profiteront à tous, des travailleurs aux habitants des régions minières, en passant par l’État guinéen lui-même.
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